Transcription de la vidéo :
Cécile : Bonjour, je suis Cécile d’« Investir et Réussir sa vie », bienvenue dans cette nouvelle vidéo dans laquelle j’ai le plaisir à d’accueillir Mathilde Juan. Bonjour Mathilde.
Mathilde : Bonjour Cécile.
Cécile :Alors Mathilde, tu es psychanalyste.
Mathilde : Oui.
Cécile :Tu es également auteur d’un site qui s’appelle « meditenfleurs», sur lequel tu donnes des conseils et des astuces pour une utilisation des fleurs de Bach.
Mathilde : C’est cela.
Cécile :Alors déjà, on peut peut-être commencer par expliquer rapidement, ce que sont les fleurs de Bach. Les gens ne sont pas forcément initiés.
Mathilde : Alors, les fleurs de Bach, c’est un système pour équilibrer les émotions. C’est le Docteur Bach, un médecin anglais, qui a mis cela au point dans les années 1930. En fait, il a identifié une fleur pour chaque émotion.
Les fleurs de Bach se présentent en petites formes de gouttes et cela permet de traverser une émotion en nous aidant à mobiliser des ressources qui sont déjà à l’intérieur de nous.
Cécile : Je crois qu’il y a 38 fleurs de Bach ?
Mathilde : Il y a 38 fleurs, c’est exactement cela. Donc, il y a un nuancier d’émotions assez fin et il faut apprendre à connaître les fleurs pour choisir précisément celles dont on a besoin, pour que cela fonctionne. Parce que cela ne marche que si on prend la fleur, très précise.
Cécile : Il y a une chose dont on a parlé qui m’avait assez surprise, c’est que finalement, les émotions, effectivement, on les vit dans tous types de situations, y compris quand on est entrepreneur, ou quand on se lance dans un business, et toi, tu utilises les fleurs. Tu les as utilisées à titre personnel pour « combattre » certaines problématiques ou pour vaincre, comme la procrastination, comme des choses comme cela.
Mathilde : Voilà. Et puis, on peut lever les blocages et les résistances. En tous cas, c’est ce qui s’est passé pour moi. Alors, moi, j’ai une activité en ligne où je propose aux gens des formations en ligne, sur les fleurs de Bach. Et j’ai utilisé les fleurs de Bach pour développer mon activité en ligne parce qu’effectivement, j’avais des croyances limitantes, des blocages à l’intérieur de moi, des peurs. Donc, beaucoup de choses qui m’ont empêché de pouvoir diffuser tout ce que j’avais à partager librement. Donc, cela s’est fait petit à petit, vraiment par palier. Et voilà, je voulais juste donner le nom de quelque chose qui moi, m’a aidé, et pourrait peut-être aider des entrepreneurs qui se trouvent confrontés au même blocage émotionnel.
Cécile : Alors, par exemple, qu’est-ce que tu as eu comme blocage ?
Mathilde : Alors, moi, ce qui a été difficile pour moi, c’est que je suis hypersensible et j’ai tendance à beaucoup écouter les autres et à me faire influencer. Donc moi, je savais absolument qu’il fallait que je développe cette activité en ligne, que c’était la bonne chose à faire, que c’est ce qui allait me permettre de m’épanouir, que cela allait marcher ; mais autour de moi, personne ne me croyait.
Cécile : L’entourage ?
Mathilde : Voilà, l’entourage et puis, mes collègues thérapeute et conseillers en fleurs de Bach qui me disait : « Non, mais enfin, cela manque d’humain, il faut du contact pour ce genre d’activités, cela ne va jamais marcher ; ou alors, ce n’est pas intéressant. Quand même, c’est très pauvre ». Alors que moi, j’étais convaincue du contraire. Au contraire, c’était très riche et on pouvait toucher plus de monde. Donc, je le savais, au fond de moi, j’étais au bon endroit, mais j’avais du mal à rester sur ma route.
Et donc, là, j’ai pris la fleur du «Noyer » : « Walnut», en anglais. Je donne des noms anglais parce qu’on les trouve souvent en anglais. Ces fleurs de Bach, on les trouve dans les magasins bio ou sur internet. Et donc, j’ai pris « Walnut » qui m’a aidé à suivre ma route. C’est à dire : on ne va pas écouter ce que disaient les autres. Je l’entendais. Je dis : « Ah oui, ok, tu penses cela, c’est bien, mais moi, je continue parce que je pense que ce que je fais, c’est juste que cela nous correspond et je vais y arriver.
Alors, j’ai pris des litres de « Walnut ».
Cécile : Mais il y a une posologie, j’imagine.
Mathilde : Oui.
Cécile : Une façon de les prendre, cela, c’est ce que tu expliques, j’imagine, sur ton site.
Mathilde : Oui entre autres.
Cécile : Voilà.
Mathilde : Mais je peux vous le dire en deux mots.
Cécile : Oui. Si tu peux nous donner un exemple.
Mathilde : Si vous avez envie d’essayer une fleur. On peut commencer par mettre deux gouttes, c’est un petit flacon, vous mettez deux gouttes dans un verre d’eau que vous prenez plusieurs fois par jour. Si c’est pour un traitement de fond, s’il vous semblait que c’est un bon gros blocage, bien cadenassé, vous pouvez le prendre pendant trois semaines. Et alors, je dirais que là, cela fait bouger les choses en profondeur.
Cécile : D’accord, donc, là, c’était le blocage par rapport à l’entourage que vivent beaucoup d’entrepreneurs, d’ailleurs.
Mathilde : Oui, voilà une solitude.
Cécile :On a même, des fois, notre petite voix à l’intérieur qui nous le dit. Cela, c’est pire parce que cela vient de nous.
Mathilde : Oui, c’est cela.
Cécile : Mais là, c’est l’entourage. Est-ce qu’il y a d’autres émotions que tu as réussi à dépasser grâce à ça ?
Mathilde : Alors, moi, j’ai une grande tendance à l’éparpillement, j’aime faire plein de choses, je suis très curieuse. Donc, j’avais lancé les fleurs d’un côté : les fleurs de Bach. Après, je travaillais aussi beaucoup, sur l’interprétation des rêves. Il y a tout qui m’intéresse.
Donc, c’est chouette parce que du coup, je ne m’ennuie jamais. Le problème, c’est que pour développer un business sur Internet, la bonne idée, c’était plutôt de rester focus, de choisir une chose et de m’y tenir. Et pendant toute l’année dernière, c’était très difficile. Je lançais 36 chantiers à la fois. Donc, forcément, je faisais avancer tout un petit peu, mais il n’y a rien qui aboutissait. Et cet état d’éparpillement là, c’est un état duquel on peut sortir, grâce à la fleur de la folle avoine, « wild oat » en anglais.
Je ne sais pas si tu vois les champs d’avoine, à quoi cela ressemble. Ce sont des tiges très fines qui balancent complètement, au gré du vent, comme s’elles n’avaient pas de structures. C’est vraiment, je vais là où le vent me porte. Si untel me dit : « Oui, j’ai la super-formation, j’ai la dernière technique qui va t’aider à développer ton attitude », eh bien je le suivais. Et d’ici deux mois après, il y avait quelqu’un, moi qui me disait : « Mais moi, j’ai mieux et cela ira plus vite, ce sera plus facile ». Je suivais l’autre.
Donc, j’étais vraiment comme cela poussé au gré du vent. Entre cela et puis mes affaires émotives, et bien, cela n’avançait pas trop.
Donc, j’ai pris « wild oat »pour me concentrer, pour choisir vraiment ma méthode, une source de trafic, choisir un sujet. Donc, rester sur les fleurs de Bach et m’y tenir. Les rêves, on verra plus tard. Et voilà, cela m’a permis de recentrer. Cela a vraiment porté ses fruits en début d’année, là, je ne fais vraiment plus que cela. Et je vois cela dans les résultats.
Cécile : Ah oui, tu as des résultats qui sont vraiment super.
Mathilde : Oui, c’est ce qu’on me dit là.
Cécile : Même au niveau de ton activité, cela se développe bien.
Mathilde : Enfin, voilà.
Cécile : Tu as trouvé ton public ?
Mathilde : Oui, aussi. Mais il faut que je continue à prendre « Wild oat » pour vraiment, ne pas être tenté de repartir dans tous les sens et avoir envie d’essayer des trucs exotiques.
Cécile : Alors, quand on commence comme cela, à utiliser les fleurs de Bach, est-ce que c’est quelque chose qu’on utilise tout le temps ou c’est qu’on va vraiment varier les différentes fleurs en fonction de son état ?
Mathilde : Oui, tout à fait. Alors, quand on tombe dans les fleurs de Bach, on n’entre pas dans le chaudron en général. C’est qu’on a envie que cela soit des fleurs qui vont nous suivre toute notre vie. Mais les 38, tu vois. Parce que comme tu le dis : on va avoir besoin d’une fleur à un instant donné parce qu’on ressent un blocage bien particulier. Mais le but, c’est quand même de le traverser. Donc, une fois qu’on a traversé, tu donnes la fleur en question.
Mais souvent, il y a d’autres choses qui se présentent derrière, d’autres sujets qu’on n’avait pas vus parce qu’ils étaient tous petits. Alors, c’était l’arbre dans la forêt, mais derrière, il y en avait encore certains à déverrouiller. Et donc, comme cela, petit à petit en prenant différentes fleurs, on peut se frayer un chemin pour avancer, tout simplement.
Cécile : D’accord. Donc, toi, tu as découvert cela il y a combien de temps, les fleurs de Bach ?
Mathilde : Il y a plus de trois ans.
Cécile : Et tu as vraiment senti une évolution ? Cela a changé ta vie en tous cas.
Mathilde : En fait, moi, je suis psychanalyste à la base. Donc, j’avais beaucoup réfléchi quand même pendant la formation. Et j’ai fait ma propre analyse, j’ai été accompagné pendant toute ma psychanalyse, vraiment pour le pourquoi du comment, les liens d’où ça vient, de mon enfance, des générations passées, etc. Tout cela, c’était bien câblé, mais pourtant, émotionnellement, cela restait difficile même si j’avais quand même réglé pas mal de blocages. Mais il y avait des choses donc, vraiment, je ne savais pas par quel bout les prendre. J’avais beau avoir tout compris, si tu veux, cela restait là. Les blocages restaient là, le nœud-là au ventre, il restait là. J’ai compris qu’en fait, comprendre ne suffisait pas. Il fallait aller plus loin. Et les fleurs de Bach vont plus loin puisqu’on est vraiment sur un schéma thérapeutique subtile ; on est dans les thérapies quantiques.
Cécile : C’est proche de l’homéopathie ?
Mathilde : C’est proche de l’homéopathie même si c’est un peu différent. C’est-à-dire que ce sont les médecines de l’information, les médecines énergétiques, on prend une information et non pas une molécule. Et c’est pour cela que cela nous fait bouger vraiment en profondeur. Donc, ça permet vraiment de traverser des émotions qui restaient pour moi, infranchissables, auparavant. Cela a été la vraie révolution. Au point où j’ai complètement, changé ma façon de travailler.
Cécile : D’ailleurs, tu m’as parlé d’une chose lorsqu’on a parlé au téléphone il y a quelques jours. C’est aussi de la procrastination.
Mathilde: Oui.
Cécile : Donc, cela, c’est un mal qui nous touche tous.
Mathilde : Alors oui, la procrastination, il y a une fleur, pour cela. C’est une fleur utilisée quand on a tendance à traîner les pieds, on a du mal à s’y mettre. On sait qu’il faudrait, que c’est le moment, qu’il faudrait mieux le faire maintenant, mais on reporte au lendemain, voilà.
Cécile :On est touché par ce mal.
Mathilde : C’est cela. Alors, la fleur, pour sortir la procrastination, c’est Horn beam, la fleur de charme. Et c’est une fleur qui permet de retrouver la motivation et l’élan. On va dire, l’élan qui permet de retrouver l’envie. Là, ce n’est pas juste un comprimé qui va te…
Cécile : Oui, qui va te permettre de débloquer et c’est le moment de faire la sélection tout de suite.
Mathilde : Et bien, c’est quelque chose de plus profond, vraiment, pour changer de posture et retrouver l’envie de faire les choses qui nous plaisaient un petit peu. Alors moi, typiquement, cette fleur-là, je la prenais de façon quasi systématique. À un moment donné, j’écrivais des articles que je n’avais pas franchement envie. Ce n’était pas pour moi, en fait. Je mettais ma plume au service de quelqu’un d’autre et franchement, je trainais des pieds, c’était dur. Alors, tous les matins, dans le thé, je me mettais un Horn bean et j’y arrivais. Donc, j’y suis arrivé au bon moment, j’ai changé de voie, c’est quand même mieux, comme cela, l’envie, elle est plus spontanée.
Et j’ai moins besoin de Horn bean.
Cécile : Oui. Donc, c’est vraiment une aide quelque part, parce qu’au fond, il faut quand même avoir la motivation pour faire ce qu’on n’a pas envie de faire pour être « alignée à son activité ».
Mathilde : C’est cela. Si on n’a pas envie, si on n’est pas au bon endroit, on pourra prendre Horn beam. Cela fera un peu effet. Mais ce ne sera pas très bon.
Cécile : D’accord. Et est-ce que tu l’utilises aussi, pour les membres de ta famille, par exemple ?
Mathilde : Oui, alors, mon fils qui aura bientôt 3 ans. C’est un bébé fleur, puisque j’ai commencé à prendre des fleurs quand j’étais enceinte, donc, il en a bénéficié aussi. C’était un truc de vibratoire. Donc, oui, oui, et puis là, il y a beaucoup de fleurs, pour l’aider à dormir, etc. D’ailleurs, au début, lorsque j’ai développé mon activité, je m’adressais essentiellement aux mamans des enfants en bas âges, pour leur donner des solutions, des pistes pour les petits soucis de leur petite enfance et pour aider leurs enfants à grandir de façon harmonieuse. Parce qu’en fait, la philosophie des fleurs de Bach, ce n’est pas une potion magique, cela ne va pas t’emmener un super pouvoir. C’est plutôt que cela va venir soutenir des capacités qui sont déjà en toi, mais qui te feront complètement, s’exprimer parce qu’en face, il y a quelque chose de trop lourd.
Cécile : D’accord.
Mathilde : Tu vois la fleur elle est parfaite à la fois, de la qualité et du défaut. Et on va la prendre quand on le sent, le défaut. Typiquement, quand on sent la procrastination, on prend horn beam, non pas pour étouffer la procrastination et puis se dire : non, mais prend sur toi, il faut y aller, etc. Mais plutôt pour soutenir la part de nous, qui aurait envie de s’y mettre.
Cécile :D’accord, ok.
Mathilde : Tu vois, on va muscler cette part là pour qu’elle puisse tenir tête à l’autre part qui dit : « Non, mais je resterai bien au lit ».
Et pour les enfants, c’est vraiment super parce qu’eux, ils sont complètement en mouvement, ils sont en train de se construire. Donc, ils sont en train d’acquérir des capacités, ils sont en train de développer leurs systèmes émotionnels, ils sont en train de câbler tous les neurones. On sait que cela prend un certain temps, la maturation émotionnelle du cerveau. On sait que ce n’est pas fini avant 25 ans. Donc, en fait, cela va les aider à acquérir des capacités qu’ils ont déjà un petit peu touchées du doigt. Et cela va les aider à les généraliser en tous les moments de leur vie.
Je prends l’exemple d’un enfant de 2 ans, donc, je suis bien concernée. Les enfants de 2 ans, ils ne peuvent pas gérer les émotions. Régulièrement, ils vont péter les plombs. Sauf qu’il y a des moments où ils sont tout à fait en posture ombilicale, il grandit, il arrive à poser son jouet sans faire de crises. Donc, je sais qu’il est capable de le faire. Mais il n’est pas capable de le faire tout le temps, encore. Et donc, la fleur va l’aider petit à petit à réussir, à mettre en place, ses capacités de maîtrise émotionnelle, tout le temps.
Cécile : D’accord.
Mathilde : Voilà.
Cécile : Génial.
Mathilde : En fait, les fleurs de Bach, elles vont renforcer ce que j’appelle la parcelle en thérapie, l’autre parcelle, la partie envie, la part qui veut avancer, la part qui veut être libre, la part vivante, tout simplement.
Cécile : Ok, génial. Alors, si on veut plus de conseils, donc, on peut consulter ton site « meditenfleurs », c’est cela ?
Mathilde : Oui. Alors voilà, il y a un blog : meditenfleurs.com. Moi, je suis surtout actif sur Facebook, donc, il y a ma page, puisque j’ai choisi mon média. J’essaie d’avoir partout la même source, et c’est plutôt Facebook.
Donc, c’est là que je poste des vidéos, spontanées.
Cécile : Voilà. Donc, on va mettre le lien pour aussi aller voir Mathilde et ce qu’elle propose. Et cela va vraiment vous parler parce que Mathilde a une grande qualité, c’est qu’elle est beaucoup dans le concret. Ce n’est pas ésotérique.
Mathilde : Non. Pas trop.
Cécile : Voilà.
Mathilde : Un petit peu aussi. Mais pas uniquement.
Cécile : Un petit peu aussi. Mais pas uniquement, c’est ça.
Mathilde : Voilà.
Cécile : C’est ce qui fait ta force, en fait, quelque part. Donc, merci pour cela.
Mathilde : Merci à toi, Cécile.
Cécile : Et puis, on te retrouve très vite, sur ton site.
Mathilde : À bientôt.
Cécile : Et partagez si vous avez aimé cette vidéo !
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